L’analyse du jugement du tribunal administratif de Strasbourg démontre que les principaux motifs d’annulation n’ont pas été examinés au seul prétexte qu’ils auraient été « tardifs ».
Ces motifs seront donc examinés par le Conseil d’État que je saisis sans tarder.
Devant la pandémie, il y a deux façons de réagir.
Celle, offensive, qui consiste à investir massivement pour sortir renforcés de cette crise majeure, les instances l’ont bien compris, qu’elles soient européennes, nationales ou locales.
La municipalité actuelle fait encore une fois le choix de la frilosité et de l’immobilisme. Les rares projets du maire sont déjà soient gelés, soient abandonnés.
En cela, la décision du tribunal administratif est une très mauvaise nouvelle pour nos concitoyennes et concitoyens, car le déclin de notre ville se poursuit inexorablement.
Mais je ne doute pas un seul instant que le Conseil d’État renversera cette décision.
Je tiens à remercier tous mes soutiens et à les rassurer, nous ne baisserons pas les bras.
Et je souhaite que ces fêtes apportent l’espérance, dans ce monde de plus en plus dangereux et difficile où il ne doit y avoir de place que pour la transparence, la solidarité et l’intérêt général.