D’un bout à l’autre du globe, les événements météo extrêmes s’enchaînent.
Le GIEC avertit depuis 1990 que « l’effet de serre accentuera les deux extrêmes du pic hydrologique, c’est à dire qu’il y aura plus d’épisodes de pluie extrêmement abondantes et plus de sécheresses extrêmement prononcées. »
Un degré supplémentaire, c’est 7% d’humidité en plus dans l’atmosphère. Il est désormais urgent de « transformer notre économie et notre société » occidentale pour limiter les dégâts.